De belles rencontres au Salon

Je n'avais pas mis les pieds au Salon du livre de Montréal depuis 2004 parce que je trouvais qu'il y avait beaucoup trop de monde et aussi parce que j'ai un tout petit porte-feuille (malgré de très grandes envies) qui ne me permettait pas d'acheter beaucoup de livres.

Suite à la suggestion de mon amoureux, j'y suis allée ce samedi en avant-midi et j'y ai fait de très belles rencontres...

1. Les découvertes


Sylvie-Catherine De Vailly

Je l'ai abordée parce que j'avais vu son nom sur la page FB d'Hervé Gagnon et je voulais lui demander si elle savait si ce dernier serait au Salon cette année.  Il n'y était pas, mais j'ai découvert une dame bien sympathique.  Je suis repartie avec le titre de son premier roman pour adultes, Le grand deuil et celui de son deuxième, La valse des odieux, qui devrait sortir prochainement


Marie-Josée Tardif

Elle a écrit avec Dominique Rankin, chef héréditaire algonquin, On nous appelait les Sauvages.  J'ai discuté de spiritualité amérindienne avec elle.  Et j'ai bien l'intention de me procurer son livre.







2. «Les déjà lus»


Suzanne Aubry

Elle a écrit la série des Fanette, des romans historiques se situant au Québec au XIXe siècle et dont j'ai adoré les 5 tomes sortis jusqu'à date (un 6e est prévu l'année prochaine).  Une très grande dame, d'une grande sensibilité, qui m'a serré la main et m'a remercié pour mon soutien de lectrice.  Merci à vous, Suzanne!  Et je lirai certainement son premier roman, Le fort intérieur.


Francine Gauthier

Elle a écrit les trois tomes de la série fantastique Rêve Marie, publiée aux éditions de Mortagne.  Une personne à l'enthousiasme communicatif!




 
Jean-Nicholas Vachon

Il fut fort sympathique et aussi généreux que tous les autres.  Nous avons parlé de sa défunte série L'archipel des sorcières ainsi que de  celle du Voleur de voix (vous trouverez ici mon avis sur le tome 1).

J'ai aussi glissé quelques mots à Jean-Pierre Charland, Johanne Seymour, Carmen Belzile (La maison aux lilas) ainsi qu'à Marjolaine Bouchard.  J'aurais aimé rencontrer Louise Penny, mais elle n'était là que le dimanche ainsi que Mario Rossignol et Jean-Pierre Ste-Marie, mais ils ne devaient arriver qu'après mon départ.   Merci à tous ces auteurs pour leur gentillesse et leur générosité extraordinaires!  Ce fut un réel bonheur de les rencontrer!

 (photos prises sur Internet)